La chic aventure andalouse

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La chic aventure andalouse

Il y a deux ans, pour nos vacances d’été, je partais avec mon chéri à la découverte de l’Andalousie. C’est fou comme le temps passe vite, pour moi c’est comme si c’était hier. Certainement que ça me paraît proche car le séjour fut riche et que j’ai passé 15 jours incroyables. Il faut dire que c’est pour ces vacances que Mr LovaLinda m’a offerte mon Nikon D5000 et vous pourrez admirer mes premiers clichés en Reflex.

Entre tapas et flamenco, visites et plages, en arrivant on plonge directement dans la culture locale des plus belles villes d’Espagne. Laissez-moi vous conter mon autotour en amoureux.

Étape 1 : Marseille – Malaga

Nous quittons Marseille submergée par une soif de découverte. Deux petites heures plus tard, voilà que nous atterrissons sur le tarmac brûlant de Malaga, deuxième ville d’Andalousie après Séville. Une superbe décapotable nous attend à la sortie de l’aéroport. Nos bagages disparaissent alors qu’on nous ouvre prestement la porte, non sans nous avoir glissé un châle pour se protéger du vent et notre carte dans la boîte à gant afin de jamais perdre le nord.

Le voyage démarre dès cet instant. Nous avons planifié plus de 14 villes à visiter en quinze jours, booké 5 hôtels différents et prévu d’en prendre plein les yeux.

D’origine marocaine, l’Andalousie a toujours été un fantasme que je touche enfin du bout des roues. Je sais que huit siècles de présence arabe ont laissé une empreinte plus forte qu’ailleurs.
Les champs défilent à toute allure, piqués d’orangers et d’oliviers et striés de rangs de vignes ; je ne cesse de penser aux Sarrasins, ce peuple de musulmans pour les croisés du Moyen Âge, qui aimaient cette terre à sang.

Étape 2 : Malaga – Marbella

Avant de rejoindre notre nid d’amour à Marbella, il nous semblait inimaginable de ne pas visiter Malaga. Noyée dans une Costa del Sol mitée par le bétonnage, stigmatisée comme une ville portuaire sans attrait, la belle andalouse a compris que pour briller il lui fallait renouer avec ses gloires passées. Alors avec ses travaux à chaque coin de rue on sent qu’elle est dans la reconquête de ses vieilles pierres qui laissent transpirer les influences phénicienne, romaine, arabe et chrétienne. L’âme que chantait Lorca est bien là dans ses ruelles tortueuses qui mènent à la Plaza de la Merced à celle de la Constitucion, superbement rénovées et où se côtoient salons de thé, barbiers d’un autre temps et créateurs avant-gardiste.

En fait Malaga c’est une cité populaire me rappelant Marseille. Animée, avec sa promenade en bord de mer où tout le monde se retrouve dès le soleil couché, sa cathédrale, son musée Picasso et aussi des places, des placettes, des squares où il fait bon traîner le soir à la terrasse des cafés nous n’y sommes pas dépaysés. À la différence que la vieille ville est superbe. Parfaitement authentique. En fait on est tellement bien à Malaga qu’on aurait envie d’y rester mais il est l’heure de rejoindre Marbella.

Les instants inoubliables à Malaga :

  • Le tour de la ville en calèche
  • La visite de l’Église San Juan, la cathédrale la Mancheta et sa tour inachevée, l’Alcazaba, l’ancien théâtre Cervantes
  • Se restaurer à La Moraga le dernier “gastrobar” avec 2 étoiles Michelin
  • La mosquée de Benalmadena sur le chemin vers Marbella

Étape 3 : Marbella coté piscine

Selon moi vacances d’été riment avec visites mais surtout avec repos. Alors pour commencer cette quinzaine andalouse et après la visite de Malaga j’ai choisi une adresse surtout relaxante, à l’écart de tout juste pour se sentir seuls au monde au bord d’une énorme piscine. La Casa Concha est ce havre de paix. Entre mer et montagne, cette maison de charme tenue par une française a un style fou. C’est Mr&Mrs Smith qui nous ont fait céder. Notre chambre toute de blanc vêtue nous laissait croire que nous étions au paradis. Dommage les arrivées tardives et le petit-déjeuner ne sont pas à la hauteur du standing de l’établissement. La meilleure adresse du coin malgré tout pour son immense jardin à la vue sur la mer.

Les instants inoubliables à La Casa Concha :

  • Les 4 nuits sans entendre un seul bruit environnant
  • Passer des heures à admirer le jardin depuis la terrasse décorée de noir et de blanc
  • Faire une sieste dans le hamac
  • Se détendre à l’ombre du lit à baldaquin au bord de la piscine
  • Vivre le sacre de champion du monde de l’équipe nationale de football

Étape 4 : Marbella coté ville&plage

Après trois nuits à dormir et se dorer la pilule il était temps de visiter Marbella, le Saint-Tropez espagnol. Loin de l’histoire d’Andalousie  cette ville tourne autour de ses 24 plages. Mais si son chic aux palmiers par centaines, trottoirs en marbre, boutiques de luxe, casinos, yachts impose sa loi il serait pêché d’oublier sa vieille ville qui tourne autour de la Place de los Naranjos, chère à son coeur. Pour 4 nuits nous posons nos valises chez The Town House, charmant boutique-hôtel perdu dans les ruelles de la cité. Ce cocon est un espace éternel. La chambre au lit à baldaquin colonial et à la déco aéré est reposante. Même s’il manque une piscine, la terrasse sur le toit avec sa douche offre des instants de plaisir inoubliable à la vue panoramique. Et puis les plages privées ne sont qu’à cinq minutes à pieds, que demander de plus ?

Les instants inoubliables à Marbella à The Town House :

  • Les balades dans le vieux Marbella avec ses maisons blanches et ses balcons fleuris
  • Les soirées à Porto Banus temple des jet-setteurs
  • Le shopping haut de gamme
  • Se régaler de poisson grillé sur la plage

Étape 5 : Marbella – Tarifa – Cadix – Séville

Au revoir Marbella et le séjour balnéaire, place au voyage dans le temps. Pour rejoindre Séville nous aurions pu traverser directement par Ronda et y arriver en moins d’une heure par l’autoroute sauf qu’il était hors de question d’aller vite, de rater un bout de Costa, Gilbratar et la vue sur Tanger. Notre autotour ne se roule que sur les petites routes andalouses en gardant le souvenir du va-et-vient des galions, charrettes et baudets chargés des trésors du Nouveau Monde.

Les instants inoubliables entre Tarifa et Cadix :

  • Tarifa et sa plage de sable blanc, son vent d’ouest, ses rouleaux et son parcours de buggy
  • Gilbraltar et sa vue imprenable sur le Maroc
  • Vejer de la Frontera et ses moulins à vent
  • Medina Sidonia et sa forteresse arabe et ses ventas (fermes d’élevage de taureaux)
  • Cadix et la balade dans la vieille ville avec ses remparts, son théâtre romain et son palais néo-classique
  • Arcos de la Frontera et ses bâtisses blanches aveuglantes dressées sur le rebord d’une falaise

Étape 6 : Séville

On a donc quitté nos maisons d’hôtes de Marbella, la Costa Del Sol et Del Lux pour rejoindre les terres profondes andalouses. Nous arrivons en fin de journée à Séville et on se rend d’abord dans notre hôtel pour 3 nuits : Las Casas del Rey de Baeza d’Hospes. Nous sommes accueillis comme des VIP. J’ai toujours fui les chaînes d’hôtel comme la peste, mais en préparant ce voyage j’avais succombé sur l’élégance et le chic de celle-ci juste en allant sur leur site, j’avais bien fait.

L’Hospes Las Casas del Rey de Baeza est l’adresse parfaite pour se reposer de nos dernières ardeurs. De facture sévillane avec un air de ryad on ne peut que succomber à sa déco épurée aux accents lounge, ses tons clairs et la gentillesse des employés. Ce palais intimiste organisé autour de trois patios où seule perce le murmure de la fontaine est également l’une des rares adresses sévillanes à proposer une piscine sur son toit d’où la vue embrasse les toits et clochers du vieux Séville. Nous sommes aux anges. L’adresse choisie est comme la capitale andalouse qu’on s’empresse de visiter : authentique, raffinée et joyeuse.
Pieuse et païenne, musulmane et chrétienne, moderne et traditionnelle, Séville entretient les contrastes pour préserver sa grandeur.

Les instants inoubliables à Séville :

  • L’incontournable merveille l’Alcazar, mi église mi mosquée avec ses palais, ses patios et ses jardins
  • Avoir une visite guidée de la ville avec un guide privé inclus dans le prix de la chambre
  • Admirer le chef d’œuvre gothique qu’est la cathédrale Santa Maria, la plus grande d’Espagne, classée au Patrimoine mondial de l’Unesco, elle abrite le tombeau de Christophe Colomb ainsi que le plus grand ostensoir du monde
  • La vue magnifique depuis la Giralda, l’ancien minaret de la mosquée, il est considéré comme la “sœur” de la Koutoubia de Marrakech et de la tour Hassan de Rabat
  • Traverser le pont Isabel II pour rejoindre à pied le quartier de Triana au sud de la ville de l’autre côté du Guadalquivir
  • Prendre le soleil à l’une des terrasses de la rue San Jacinto
  • Faire du shopping branché sur la plaza Salvador
  • Prendre l’apéro sur le toit terrasse de l’hôtel EME pile face à la cathédrale
  • Diner à l’Abantal, le premier restaurant de cuisine andalouse contemporaine qui a reçu une étoile Michelin en 2009, un vrai voyage des sens
  • Boire un verre au El Rinconcillo, le bar le plus ancien de la ville et apprécier aussi les tapas traditionnelles ou sur la plaza del Savador noire de monde
  • Le petit tour en calèche dans le quartier de l’ancienne Expo Universelle ibéro-américaine de 1929, avec les superbes jardins de Maria Louisa, avant de terminer par la Piazza di Spagna

Étape 7 : Séville-Cordoue

Cette route de campagne a des visages très variés, couronnés par les montagnes subbétiques. On passe par la vallée du Guadalquivir plantée d’oliviers, de céréales est ponctuée de bourgs comme Baena et Bajulance. Dans la haute campagne, les villages prospères sont nombreux. À nous de choisir l’escale ou alors de toutes les faire.

Les instants inoubliables entre Séville et Cordoue :

  • Montilla, réputé pour ses vins et ses bodegas
  • Lucena pour ses céramiques et fers forgés
  • Puente Genil pour ses sucreries
  • Aguilar pour son huile
  • Carmona, village perché, tout blanc, pour boire un verre au Parador encore une ancienne forteresse arabe
  • Le magnifique château médiéval d’Almodovar del Rio, “verrou” militaire de Cordoue à quelques kilomètres avant, perché sur une colline
  • Les vestiges de Medina Azahara, le rêve de pierre du calife Abd ar-Rahmán III à 6 km, sur l’ancienne route de Séville

Étape 8 : Cordoue

Après 150km nous posons donc nos valises à l’Hospes Palacio del Bailio pour deux nuits. Comme pour Séville on reste sur la fameuse chaîne espagnol de palais Hospes (ce sera pareil pour la dernière étape à Grenade). Ce 5 étoiles logé dans un palais du XVIé siècle est un des plus beaux établissements dans lequel j’ai eu la chance de dormir. Dans mon top 3 des meilleurs hôtels de ma vie, c’est dire ! Rénové en 2007 il juxtapose design contemporain et histoire deux fois millénaire. On y petit-déjeune, déjeune ou dîne au-dessus de ruines romaines visibles à travers le sol vitré et on s’y baigne dans d’authentique thermes. Autant dire que quand on franchit le seuil de cette adresse il est difficile d’en partir. Je ne vous parle pas du patio andalou, de la piscine à l’ombre des orangers, de notre chambre Dreamer’s absolument sublime. Heureusement dans notre forfait on a trois heures de visites guidées privées à la médina Al-Zahra sinon nous n’en serions pas sorti.

Mine de rien Cordoue a été choisie par l’Omeyyade Abd-al Rahman comme 1er comme capitale d’Al-Andalus en 716 et est alors devenue une ville éblouissante. Ses quartiers historiques, classés par l’Unesco, sont situés dans le même périmètre, on peut tout visiter à pied. La Mezquita, en accès gratuit le vendredi matin, l’Alcazar reconstruit, l’ancien quartier juif avec son labyrinthe de ruelles blanches, ses placettes et sa synagogue, l’une des 3 dernières d’Espagne ayant survécu à l’expulsion des Juifs en 1492. Dans ce quartier, les cours intérieures sont très fleuries et les habitants ouvrent leurs portes aux visiteurs avec une surprenante hospitalité !

Les instants inoubliables à Cordoue :

  • Tester les soins à deux du spa de l’Hospes Palacio del Bailio
  • Goûter le délicieux virgin mojito dans le bar de l’hôtel
  • Profiter de la séance dégustation des meilleurs huiles d’olive fruitée au monde (et les acheter)
  • Siroter un cocktail au Sojo Cafe Ribera sur la terrasse perchée sur le toit pour regarder le soleil se coucher sur le Guadalquivir (l’ambiance rappelle Marrakech avec Chicha disponible pour les inconditionnels)
  • La découverte de  la ville : les patios, le quartier de la Juderia, la tour de la Calahorra, la mesquita avec sa cour d’orangers et sa cathédrale, l’Alcazar et le musée des Beaux Arts

Étape 9 : Cordoue-Grenade

Entre Cordoue et Grenade il y a 250km. On ne se prive pas de couper la poire en deux en faisant à détour à Baeza. Baeza et Ubeda sont les symbole de la Renaissance espagnole en décor naturel. Les deux villes sont classées au patrimoine mondial par l’Unesco. Entourées de remparts, elles ont gardé un centre monumental parfait. On y tourne des films de cape et d’épée en décors naturels. On s’attend presque à croiser Charles Quint au détour de chaque ruelle pavée. Et si les carrosses ne roulent plus, les calèches les ont remplacés. Parfaites pour une délicieuse plongée dans l’Histoire.

Les instants inoubliables entre Cordoue et Grenade :

  • Les palais isabélins, gothique flamboyant avec ornements italianisants de Baeza
  • La beauté d’Ubeda qui surplombe un vaste paysage de collines d’oliviers.
  • Se poser sur la place Vasquez de Molina et la Sacra Capilla del Salvador

Étape 10 : Grenade

Dernière étape avec nuitées entre tapas et flamenco. En arrivant à Grenade on est immédiatement surpris par le côté moderne de la ville. Rien à voir avec les étapes précédents. L’hôtel choisi Hospes Palacio De Los Patos est en plus aux antipodes des deux autres Hospes que nous venons de visiter. Palais 5 étoiles toujours, cet établissement contrairement à ses frères est moderne, clair et minimaliste. Le spa et la piscine ne valent pas le détour mais en revanche la beauté de la suite, avec son majestueux jacuzzi et la décoration inspireraient les plus blasés d’entre nous.

Finalement on a surtout choisi le Palacio De Los Patos pour son emplacement stratégique pratique pour ces 2 jours de visites. À à 10 minutes à pied de l’Alhambra, en plein centre ville, au millieu de la principale artère commerciale de Grenade (le shopping y est vraiment sympa) et à quelques mètres de Los Baňos ArabesLon ne pouvait rêver mieux. Dans notre formule on avait par ailleurs trois visites guidées : la première en amoureux pour une balade dans l’Albaicin au coucher de soleil, la seconde fut une soirée flamenco et la dernière le lendemain pour l’Alhambra.

Les instants inoubliables à Grenade :

  • La visite de l’Alhambra, le must-see à, le stop obligatoire en Andalousie avec les Palacios Nazaries, les patios andalous et Generalife la bucolique résidence d’été des rois de Grenade sans oublier les vues panoramiques sur la ville et les cimes enneigées de la Sierra Nevada.
  • Los Baňos Arabes pour se prendre pour une princesses des Mille et Une Nuits, c’est un hammam-piscine installé dans un bâtiment du XIIè siècle. Les piscines bain bouillant seuls en amoureux et les massages relaxant sont jouissifs.
  • “Tapear” c’est à dire passer de bar en bar tout en grignotant des tapas à la Calle Naves, c’est la rue ou le Tout-Grenade se retrouve pour les coquetas, le queso manchego et autres gourmandises andalouses
  • Gouter les piononos de la Casa Isla, la spécialité locale à base de crème et cannelle
  • Ramener de l’encens, des épices et du thé comme le Te Sueno de l’Alhambra (fruits et fleurs) de l’Herbolario Esencias
  • Se balader en amoureux dans l’Albaicin, quartier classé patrimoine mondial de l’Unesco est formée de ruelles dans lesquelles il fait bon se perdre
  • Vivre le coucher de soleil au Mirador San Nicolas avec vue imprenable sur l’Alhambra et au son du chant du Muezzin de la Mezquita Mayor
  • Profiter d’une soirée flamenco dans le quartier gitan de Sacromonte et assister à un spectacle donné dans l’une des nombreuses cuevas (grotte) du coin. Notre choix : l’incontournable cueva de Maria La Canastera qui fut autrefois fréquentée par Ingrid Bergman, Claudia Cardinale et Hemingway, oui monsieur !

Étape 10 : Grenade – Malaga – Marseille

Quinze jours ce sont écoulés. Quel tristesse de rentrer en France. Pour des vacances pas trop loin en kilomètres qui fassent vibrer l’Andalousie est la destination parfaite. Elle mêle avec grâce cultures musulmane, catholique et juive. Elle offre toujours ses fastes de madone emperlée aux foules venues lui rendre hommage. Par ailleurs située entre Afrique et Europe, forte d’un climat ensoleillé méditerranéen, tous les mois lui vont et surtout elle m’a faite oublier que l’on est encore en Europe…

En conclusion :

On hume l’Andalousie quand ses parfums d’oliviers, de fleur d’oranger, de jasmin bordent les ruelles de ses quartiers.
On caresse l’Andalousie quand son soleil rebondit sur la beauté de ses plages de sable privées.
On écoute l’Andalousie quand sa guitare déchire la nuit embaumée.
On déguste l’Andalousie quand ses bars à tapas nous invitent à rentrer.
On lit l’Andalousie quand ses murs dessinent des arabesques multicolores estampillées au nom d’Allah et de son Protégé.

Mais surtout on la visite. Mon parcours chic et magique d’il y a deux ans, à jamais gravé, ne demande qu’à être copié. Je vous laisse, mon vol pour Barcelone décolle dans 1 heure. Bon premier week-end d’été !

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  • Je ne suis pas forcément adepte des compliments à tout va donc si je te dis que je te trouve SUBLIME sur ces photos c’est que je le pense vraiment ! Il a de la chance de t’avoir ton mari ;) Une belle escapade en Andalousie en tout cas, j’ai hâte de voir la suite de tes aventures en Espagne ! De gros bisous

    22/06/2012
  • Diane
    REPLY

    Bonjour ! Tout d’abord merci pour ce super reportage qui m ‘aide bcp à préparer mon voyage de cet été !! J aurais qq questions à te poser si possible puis je te contacter par mail ? Merci bcp (: Diane

    06/04/2013
  • Tu me renvoies à mes propres souvenirs andalous… quel plaisir !

    26/04/2013
  • Lucile
    REPLY

    étant d’origine Andalouse par mon père, je suis heureuse d’être tombée sur cet article. L’Andalousie, la plus orientale de toutes les régions européenne est bel et bien un havre de paix, ou le temps s’arrête, entre passé et modernité…

    28/10/2014

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