Le roi Maje
Maje – Sandro, quand on sait que ce sont deux sœurs qui ont lancé ces deux marques on comprend pourquoi il est impossible de faire un choix entre le duo. Si Judith Milgrom ressemble comme deux gouttes d’eau à sa sœur ainée Evelyne Chétrite, leur marque sont tout aussi jumelles. Bobo, rock, romantique, folk, ethnique et chic, tous les signes de la Fashionista glamour sont dans leur style. Même si j’ai une petite préférence pour Sandro en raison d’une de ses adorables vendeuses, il est vrai que je trouve Maje tout aussi indispensable dans mon dressing. Forcément l’appel des ventes privées du moment m’a fait pousser la porte de leur boutique marseillaise.
C’est Clémentine et Benjamin qui ont pris soin de moi. Attentifs malgré le monde j’ai aimé la gentillesse et la patience de Clémentine et j’ai apprécié que Benjamin m’amène TOUS les articles remisés à ma taille. Dans le carré d’or marseillais, entre rue Paradis et rue Grignan comment aurais-je éviter ce saut chez Maje ? Aux côtés de Louis Vuitton, Frojo et Cartier, la boutique Maje est une des plus belles de la ville. En passant devant sa petite vitrine, il suffira de se faufiler dans son entrée discrète. Immédiatement séduit par l’ambiance chaleureuse de la déco orientale et cosy aux tapis de velours, multitudes de lampes en fer forgé, canapé central, il sera difficile de ne pas craquer au milieu de tous ces vêtements, accessoires, sacs et chaussures tendances.
Les + :
- L’emplacement
- La déco absolument sublime
- Les collections dans l’air du temps
- Le rapport qualité prix
- Les matières
- Les articles basiques et indémodables
- Le packaging et les papiers de soie
- Le paiement en 2 fois avec chèque différé
- Les ventes privées
Le – :
- L’envie de tout acheter
- L’arrêt à la taille 40
- Les vendeurs un peu froids et distants
Enfin voici mes achats Maje du jour :
Un top en soie, une robe façon saharienne et une paire d’escarpins
En conclusion pour se faire plaisir dans un cadre chic sans exploser sa CB, Maje, 27 rue Grignan, 13006 Marseille est l’adresse idéale. Faites juste attention de ne pas prendre racines dans une de leurs nombreuses cabines à l’abri du regard des badauds. On s’habitue vite à essayer des vêtements derrière ces rideaux irisés et devant l’immense miroir. Même si ce dernier dévoile tous les défauts et a failli me dégouter de ma silhouette… Heureusement Les Petites m’a réconciliée, mais ça c’est un autre sujet…